Le parc est situé tout juste au sud de Melbourne, sur une
presqu’ile, directement au bord de la mer. Il s’agit d’un petit parc de 51
emplacements. Pendant notre visite, des
travaux de dragage avaient lieu dans le canal adjacent au camping. Le sable est
aspiré par de puissantes pompes et poussé par des tuyaux jusqu’en bord de mer à
environ 1km pour y refaire la plage. Ici on ne souffle pas de la neige mais du
sable. La plage est très peu achalandée à l’exception de quelques pêcheurs ce
qui a incité Daniel à tenter sa chance. Après l’achat d’une ligne pour pêcher
en océan, d’appâts assez vivaces merci et d’un permis en bonne et due forme,
les reflexes sont rapidement revenus. Malgré des efforts soutenus, seul un
petit requin, immédiatement remis à l’eau, a mordu à l’appât. Meilleure chance
la prochaine fois, à St-Augustine.
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| Plage du Parc Sebastien Inlet |
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| Nouvelle activité de Daniel |
Ce camping aurait été un endroit agréable s’il n’y avait pas
eu les « no see um ». Ces minuscules
insectes portent bien leur nom car on ne les voit pas. Tellement petits qu’ils se
faufilent dans les trous des moustiquaires mais ça pique en t…en fait ils
injectent un anticoagulant, pour ensuite pomper le sang. Quand on s’en rend compte, il est trop
tard. Résultat : une visite à la
pharmacie locale pour trouver une lotion calmante. Daniel a été particulièrement éprouvé…
Sebastian Inlet est un bel endroit pour faire du vélo, sur
la piste qui longe la route. Dans le
canal adjacent au camping, plusieurs pêcheurs dans de petits bateaux, et
plusieurs pélicans qui s’y adonnent aussi.
L’un de ceux-ci, les yeux plus grands que la panse, pardon plus grands
que le gosier, a eu passablement de difficultés à engouffrer son repas, comme
on le voit sur la photo…
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| Pélican |
Finalement, les "no see um" auront eu raison de notre ténacité.
Initialement prévu pour 5 jours, nous avons écourté notre séjour et décidé de
nous payer une nuit à l’hôtel pour soigner nos piqures…
Nous quittons la côte pour quelques jours et nous nous
dirigeons vers le centre.
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